Fredaan
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BiographiePoème du reclus de Covendeirp « Et voir passer les Psonn comme passent les hivers, Silencieux et glacés dans leur hâte dernière. Leurs yeux perdus déjà sur l'étendard en berne Sombrer sans peur ni hâte dans l'encre de leurs cernes. Les Irisés, montés, semblent des rois défunts, Parés d'atours ternis, et l'épée à la main. Les montures et les hommes, le métal et la chair Lentement se confondent en une brume austère. La cohorte s'éloigne, le bruit se fait murmure. Le vent couvre à présent les tintements d'armures. Les armées sont passées, mais reste sur la lande Le sang jade des Sylth, en manière d'offrande. » Cartes |
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